Oui, enfin, nous sommes à l’abri des intempéries. Il manque que les fenêtres et les portes pour travailler dans un endroit plus hermétique en prévision des baisses de mercure que nous promet l’automne. Sur cette première photo, j’ai arrêté mon camion le temps d’une photo. (Je capotais…) Je trouvais le bardeau si beau devant la toile de fond de la forêt. Il se mélange super bien sans être trop voyant. J’étais soulagée d’avoir fait le bon choix, car ce n’est pas toujours évident d’imaginer l’effet d’un échantillon sur une si grande surface. J’ai choisi la couleur « lune de miel », catégorie Everest (40 ans) dans les produits BP. Une couleur chaude qui est ni trop pâle pour cumuler les traces noires des pluies acides et ni trop foncée pour absorber la chaleur et vieillir prématurément. J’aime choisir les couleurs c’est mon « département », mais pour ce qui est de l’extérieur de la maison le stress est un peu plus grand.
Le bardeau a un grand défaut : il n’est pas recyclable. Ce fut une décision économique, car notre choix écologique était la tôle à cause de sa pérennité. Le prix d’un toit de tôle architectural est exorbitant (3-4 fois le prix du bardeau). Écologique ne rime pas toujours avec économique !
La pose du bardeau d’asphalte n’a pris qu’une seule journée, celle de vendredi dernier. Ils étaient six hommes en tout pour faire le travail.
Les travaux pour la construction de la remise attachée à la maison ont débuté. Mon tendre pourra étendre l’isolant et les tuyaux radiants au début de la semaine, car jeudi nous prévoyons le retour de la bétonnière pour couler le béton de tous les planchers et aussi des sonotubes.
Mon tendre a eu beaucoup de plaisir à préparer les lisses de clouages pour les divisions. La grandeur des pièces se concrétise peu à peu et c’est très excitant !
La pose du plancher radiant se poursuit au deuxième étage et au-dessus du garage. Cette étape sera bientôt terminée.
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